Que cherche le commissaire de police de la ville (qui n’est peut être pas commissaire) en s’introduisant chez une famille (qui n’est peut être pas une famille) qui semble mener une vie toute en harmonie alors qu’elle n’est pas paradoxes et contradictions ?
Tout le monde dans cette famille sans repères bien définis où chacun fait et défait ses valeurs, semble patauger dans la boue, ce qui n’est pas sans être d’un certain attrait pour le commissaire qui finira par céder à la tentation, alors qu’il est censé faire régner le droit et protéger la morale.
Le sentiment de l’absurdité de la vie ne serait-il donc pas dû à notre relation avec nos valeurs, que nous créons et que nous détruisons, ou auxquelles nous nous rapprochons puis desquelles nous nous éloignons dans un mouvement de spirale sans début ni fin ?